Dans tous les coins de la capitale, les ordures gardent la ville sans relâche. De commune en commune l’odeur nauséabonde des déchets dicte le ton. L’indécence grave les échelons. En effet, Vivre main dans la main avec la saleté, n’est plus une préoccupation pour la communauté haïtienne. Les mairies peinent de trouver une issue.
Au fond, cette question est essentiel : Que est la tâches de la mairie? C’est de rendre la ville attrayante, de nettoyer les rues et les égouts et surtout donner aux places publiques un visage attirant. Il est aussi question de construire des marchés. En revanche, tous les carrefours de Port-au-Prince sont parsemés d’indices polluantes.
Petion-ville, l’un des centres commerciaux du pays, bat les records dans les postes de déchets à chaque station. Les pavés sont inondés de marchands de toute sorte. L’incompétence de la mairie dans ce problème, est une preuve que le danger continuera à planer sur les habitants.
En outre, le maire de Delmas : Wilson Jeudi n’est pas épargné car à Delmas 103, une pile de fatras arlete les responsables. C’est comme entre les immondices et les gens, le danger est invisible.
Sous les yeux de la police à Croix des bouquets, les désordre règne en maître. Rony Collin, tout au long de son mandat n’a pas changer les dogmes. Les routes sont dessinées par la boue.
A Tabarre, le sujet fait sensation, il paraît que la Mairie Nice Simon tourne en rond dans cette impasse. N’en parlons des quartiers défavorisés, c’est le vestiaire des vidanges.
Les gens sortent par milliers pour des revendications sociales et politiques. Mais, aucun rassemblement n’a été fait pour la proctetion de l’environnement. Il revient à l’État, la population, les mairies de despiter les villes.