La population haïtienne ne fait que constater la carnage des gangs armés. Les bandits font la pluie et le bon temps. En effet, combattre l’insécurité en Haïti, en particulier à Port-au-Prince est un débat qui fragilise la société. La recherche de la tranquillité est d’intérêt général. Comme à l’accoutumée, l’administration Moïse Jouthe invite le ministre de la justice: M. Nadère Joiseuis et le directeur général de la police : Normil Rameau ainsi les représentants de la société civile au palais nationale pour dépister ce mal qui ronge la collectivité.
Opération en opération, la police remue ciel et terre pour pour démanteler les coprs armés. Le drap de l’insécurité couvre le territoire national. Ce qui provoque la peur de vivre dans un pays où la vie est au en chère.
Le numéro 1 de la police ne cache pas ses convictions et ses frustrations. Il croit être à la hauteur de démasquer les réfractaires, de mettre un terme à ces tracas.
Le chef de la police envoie un message clair à tous ceux qui sèment la terreur. Les stratégies sont multiples, malgré les manœuvres de la police reste dans l’ombre.
Par ailleurs, un premièr ministre insatisfait, réclame beaucoup plus dd’initiative et se dit prêt de mettre les matériaux nécessaires à la disposition de la police. En vue de voir le peuple haïtien respire un quotidien en toute quiétude. Entre le gouvernement Moïse Jouthe et la police, un air de confiance se précipite.
Dans l’attente de boucler l’année académique. Les barricades ne s’effacent pas dans leurs esprits, l’opposition à ses mots à dire ,la COVID prend son temps à se déclarer. Cela n’empêche la reprise des des cours à l’école. En ce sens, Le président de la République supplie les syndicats, les professeurs qui protestent, une trêve. Plus loin, il exige aux professionnels de l’éducation et les élèves de prendre à cœur les mesures barrières.
Lors de la cinquième dialogues communautaire au palais national, plusieurs sujets ont été à l’ordre du jour: L’initiative du gouvernement, un hommage à Antony Pascal dit Konpè Filo et le dialogue sur le problème de l’électricité et l’insécurité.
Un pays sans électricité, sans justice avec une police affaiblie ne fait que noyer la population dans l’instabilité et la crainte. Une décision doit être prise le plus vite que possible.