Au centre des paniques qui règnent dans le pays. La non gouvernence donne la libre accès à l’insécurité et la monter en puissance des billets verts plonge le pays dans le chaos. La question des élections stimule l’actualité et suscite des polémiques. Le principe de ce jeu est simple : il faut soumettre ses plans à son bras droits: les États-Unis et installer un nouveau Conseil électorale.
L’organisation des éléctions générales est l’une des préoccupations de Jovenel Moïse pour sauver son mandat. C’est un défi qui se laisse désiré et qui choque la société civile. Les planifications ne restent pas entre les quatre murs, lors d’ une visite officielle à Washington, le chancelier haïtien : Dr Claude Joseph cherche déjà le soutien des États-Unis et de L’OEA.
Sous le sol de la bannière étoilée, le ministre des affaires étrangères a rencontré le sous-secrétaire américain Michael G. Kozak ainsi que le secrétaire général de L’OEA, pour discuter sur la sécurité et la lutte contre la corruption.
Par ailleurs, la clef de sa visite se situe dans l’enjeu des élections. Or, les élections législatives sont loin de se réaliser, car la date n’est plus au panneau. Selon le sous-secrétaire des américains, le président Jovenel Moïse doit déployer ses efforts pour instaurer le CEP et réaliser les élections.
En outre, le secrétaire général de L’OEA accorde une grande importance au 7 février 2022, qui mettre un terme au mendat du président de la République. Une date qui met du l’huile sur le feu de la politique. Et qui annonce la couleur dans la démocratie haïtienne.
Depuis des décennies, la descente dans les urnes est un bain de sang pour les politiques. Ce qui devrait-etre une opportunité de faire pencher la balance sur le sort des démunis. Par conséquent, c’est toujours une déception pour la majorité. Un coup à gagner pour les soi-disant bourgeois et le secteur privé. La manière d’organiser les élections est la preuve que c’est l’international qui dicte les lois du jeu.