La Cour Supérieur des Comptes est dans l’obligation de donner des noms. Joseph Jouthe veut des explications en ce qui attrait aux milliards qui partaient en fumée. Dans un dossier pareil, les noms sont plus intéressants que les données.
Alors le pays fait face à des crises humanitaires. Placé au sommet de la corruption, et à l’étage de la misère, le premièr ministre croit pouvoir trouver les noms qui ont dilapidés le fonds du petrocaribe. C’est comme cherche des aiguilles dans une botte de foin.
Avant l’arrivée de la COVID 19, sur tous les murs de la capitale cette question « kote lajan petrokaribe a? » était présent dans les parages. C’était une interrogation nationale jusqu’à date. Mais on se demande : Où sont passés les petrochallenger?
La cour des supérieures des comptes fait un simulacre et traîne le dossier depuis plus de 10 ans. Aujourd’hui, il faut des noms, donnant enfin à la justice un travail à faire, de tracer un exemple.
En effet, L’argent du pétrocaribe,a été une occasion favorable, pour lancer le chantier dans le pays, tout en construisant des écoles, des hôpitaux, des universités. De relancer l’agriculture et de diminuer la pauvreté en Haïti. Celà une opportunité que l’on a pas saisir, nous avons tourné le dos à la technologie et les infrastructures.
Le chef du gouvernement, exige à la Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Administratif (CSCCA) de faire lumière sur les vrais mons des dilapidateur de ses fonds de sauvetage.
En dépit de tout, dans les médias, les débats sur ce dossier reste dans les tiroirs. Les contestations en Haïti ne dure jamais. Les revendications sont contradictoires, et en dessus dessous. La lutte contre la corruption et la vérité sur cette somme faramineuse ne doit surtout pas rester dans l’ombre.