Bien que la Constitution américaine, via le 22e amendement, limite le président à deux mandats, Trump a suggéré que, si sa performance était jugée exceptionnelle, une modification pourrait être envisagée. Ces déclarations ont été faites sur un ton humoristique, suscitant des rires parmi les membres de la Chambre des représentants présents.
Ce n’est pas la première fois que Trump fait allusion à un troisième mandat. Lors d’une réception récente, il a de nouveau mentionné cette possibilité, recevant des applaudissements chaleureux de l’audience.
Cependant, toute tentative de briguer un troisième mandat nécessiterait une modification constitutionnelle, un processus complexe exigeant une majorité des deux tiers dans les deux chambres du Congrès et la ratification par les trois quarts des États. Un élu républicain a récemment proposé un amendement en ce sens, mais sa réussite reste hautement improbable.
Il est important de noter que, malgré ces déclarations, Trump a également affirmé qu’il ne savait pas si un troisième mandat était réellement interdit, ce qui a alimenté les spéculations et les débats sur ses intentions futures.